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  • Confidentielle lors de son lancement en 2012, la Haute Valeur environnementale (HVE) enregistre un vrai pic de développement chez les producteurs viticoles.
  • L’État, depuis le vote de la loi Egalim, pousse la certification, individuelle ou collective.
  • Un des objectifs de cette certification franco-française serait d’établir un socle commun à toutes les démarches environnementales existantes.
  • Un cahier des charges qui ne repose pas que sur les phyto

  • La démarche, valable pour toutes les filières agricoles, est déclinée en trois échelons. Seul le troisième, basé sur des indicateurs de performances environnementales, représente une certification et permet d’afficher le logo Haute Valeur environnementale.
  • Un pas plus ou moins grand à franchir

  • Si les échelons 1 et 2 reposent sur le respect de la réglementation et des principes de l’agriculture raisonnée, le niveau 3 représente une implication technique encore supérieure. « J’étais déjà en bio et je n’irrigue pas, donc le point primordial pour mon exploitation c’était la biodiversité », témoigne Michel Issaly.
  • La certification comprend deux audits en trois ans. « Les précurseurs vous diront que c’est facile d’être certifié, mais c’est l’arbre qui cache la forêt, précise Laurent Brault, chargé de mission chez HVE développement. Néanmoins, ce n’est pas hors de portée et les certifiés déclarent par exemple que la production de la preuve est facile. Ainsi pour l’enherbement des parcelles, c’est l’auditeur qui vient vérifier lui-même. Le viticulteur n’a pas à fournir de document justificatif. »
  • Article complet sur mon-viti.com [De plus en plus de vignobles à Haute Valeur environnementale]